tilikum est mort

Tilikum est mort : comment aider les orques ?

Avez-vous déjà entendu parlé de Tilikum ? Cette orque, tristement célèbre pour avoir tué trois personnes, vivait en captivité dans le parc aquatique SeaWorld en Floride. Après 34 ans d’une vie misérable, Tilikum est mort à 36 ans.

Depuis la sortie du documentaire BlackFlish, qui révélait l’horreur des conditions de vie des orques, avec comme élément central la vie de Tilikum, de nombreuses personnes militaient pour son retour à la liberté. Trop tard, malheureusement, Tilikum qui souffrait depuis plusieurs mois d’une infection bactérienne, s’est éteint ce 6 janvier 2017…

La mort de cette orque martyre, est l’occasion de faire bouger les choses dans le monde de la protection animale ! SeaWorld, MarineLand, Le Parc Astérix, Loro Parque, autant de parcs qui jouent avec la vie des animaux, dans un but purement lucratif.

Tilikum, symbole d’un combat

La cause exacte de son décès sera déterminée par une autopsie, mais nul doute que Tilikum, capturé à seulement 2 ans, n’a pas eu la chance de connaître une longue et saine vie. Cette orque est aujourd’hui devenue un symbole. Presque un martyre, représentatif de la condition de vie des animaux marins en captivité.

En 2010, Tilikum a tué pour la troisième fois, un être humain, sa dresseuse Dawn Brancheau. Cette mort spectaculaire survenant à la fin d’un spectacle lance un débat retentissant sur l’impact de la captivité sur de tels animaux.

En 2013, le documentaire Blackfish, raconte la vie de Tilikum et l’enfer des animaux marins en captivité.

On y comprend alors que Tilikum était à son arrivée à SeaLand (le premier parc où il a vécu) une orque très sympathique et proche de l’homme. Mais au fil des années, les punitions, les privations constantes de nourriture, les heures d’enfermement dans des lieux trop étroits avec des orques qui finissaient par s’attaquer les uns aux autres, ont fini par le rendre fou…

Ce film émeut les téléspectateurs et remporte un immense succès. Au point que la réputation du parc aquatique SeaWorld dégringole en flèche et conduit ces derniers à annoncer, en mars 2016, la fin de la reproduction d’orques en captivité, ainsi que la fin des spectacles (pour Seaworld San Diego, c’était ce dimanche 8 janvier). Bien que la fin du show n’annonce malheureusement pas la fin de la captivité et de meilleures conditions de vie pour les orques déjà sur place, c’est néanmoins la preuve que tout ça change.

Et Tilikum, qui n’aura plus jamais l’occasion de retrouver sa liberté, sera pour toujours le symbole de ce combat pour les animaux marins.

En Europe et en France, la maltraitance continue !

La mort d’Alexis Martínez à Loro Parque

A Tenerife, en Espagne, se trouve le parc zoologique Loro Parque. C’est un des deux seuls delphinariums d’Europe à posséder des orques. Six, dont les quatre premiers viennent de SeaWorld. Y compris Keto. Qui est Keto ? C’est l’orque née en captivité à SeaWorld qui a tué le dresseur Alexis Martínez à Loro Parque en décembre 2009, soit deux mois avant que Tilikum ne tue Dawn Brancheau.

L’épisode est passé complètement inaperçu, seuls quelques médias espagnols ont relayés l’affaire. Et sans l’attaque de Tilikum et le reportage Blackfish, le cas d’Alexis Martínez ne serait peut-être resté qu’un simple « accident aléatoire ».

Les conditions de vie en captivité peuvent expliquer cette attaque. A son arrivée, dans un bassin encore en construction Keto (et les autres orques) a subi des endoscopies très stressantes (voir la vidéo ci-dessous). Le parc n’avait par ailleurs, pas une très bonne réputation, les dresseurs étant considérés comme peu expérimentés.

Les orques à Loro Parque aujourd’hui

J’ai pu recueillir le témoignage d’Aglaé, qui s’est rendue dans ce parc en 2015. Elle y avait pris des places pour visiter les coulisses des bassins. Malgré l’interdiction elle a enregistré les commentaires de l’animatrice.

Nous y apprenons que Morgan, une orque retrouvée échouée a été amenée dans ce parc. Elle souffre de problèmes de vue et d’audition. Pour lui faire faire ses tours les dresseurs utilisent des bâtons et des flashs.

Adén, le dernier né n’a pas été élevé par sa mère car elle n’a pas su lui donner à manger. Il a été rejeté par cette dernière, ce qui arrive très souvent en captivité.

Tout est fait pour faire croire au touriste que les orques vivent pourtant dans de parfaites conditions.

De nombreuses informations, dont la véracité laisse à désirer sont communiquées durant l’enregistrement. Concernant la nageoire dorsale recourbée, l’animatrice explique que cela est dû au vieillissement et que c’est tout à fait normal or ce n’est pas le cas dans la nature.

Les shows ont lieu 3 fois par jours pendant 30 minutes. Pour chaque orque le show dure environ 5 minutes, il y a un roulement et certains ne font pas toutes les représentations. Morgan fait par exemple moins de shows car sa condition peut contrarier les visiteurs.
Le spectacle en lui même n’est qu’une succession de sauts réalisés par des animaux recouverts de plaies diverses. Depuis l’accident des barrières ont été installées et il n’y a quasiment aucun contact entre les orques et les dresseurs.

Les orques présentent de nombreuses plaies, ce qui est symptomatique d’agressivité et d’attaques les uns envers les autres. Ou d’automutilation comme on peut le voir sur cette vidéo ou Morgan, isolée, se jette répétitivement contre les grilles…

Marineland

C’est le second delphinarium d’Europe où les visiteurs peuvent voir des orques. Aucun accident grave n’a jamais été déclaré mais il y a déjà eu des incidents. Et les polémiques y sont nombreuses.

Souvenez-vous, le 3 octobre 2015, des intempéries violentes inondent le parc et de nombreux animaux trouvent la mort. Parmi eux, Valentin, un orque de 19 ans. La direction du parc affirme que les eaux polluées arrivées en vagues dans les bassins n’y sont pour rien. Mais la coïncidence est trop grosse.

Contrairement à ce que la direction a par ailleurs déclaré, il y a déjà eu des incidents impliquant des orques à Marineland. Au moins 2 agressions ont été reportées par Fabien Soubielle, durant son contrat de dresseur. Il a en effet déjà vu une orque attraper par la mâchoire la jambe d’une de ses collègues. Quant à une autre elle aurait gardé sous l’eau un dresseur pendant près d’une minute. Des incidents isolés, mais pas anodins. A SeaWorld Tilikum avait déjà eu des comportements de ce genre avant de tuer Dawn.

Vous pouvez enfin écouter ce témoignage poignant de Jenny Reynaud qui a effectué un stage à Marineland et qui raconte les coulisses de ce parc. Elle revient sur le cas de Shouka, une orque arrachée à sa mère, puis vendue en Floride où elle a passé 10 ans totalement seule. Depuis 2012 elle est à SeaWorld mais la cohabitation est difficile et ses séquelles très nombreuses.

Quant à Inouk, une orque restée à Marineland, on lui a refusé des soins trop chers, selon le directeur de l’époque.

Le Parc Astérix, Planète Sauvage : les dauphins souffrent aussi

Même si ces deux parcs ne possèdent pas d’orques, il faut savoir que les dauphins souffrent tout autant de l’enfermement que ces derniers. De façon générale, les animaux sauvages ne supportent pas la captivité. Les animaux marins en souffrent particulièrement, du fait des grandes distances parcourues en liberté.

Le Parc Astérix possède 8 dauphins. Depuis l’ouverture du parc, en 1989, il  y a eu 26 dauphins, dont 11 sont morts, pour la plupart prématurément. Les 8 premiers dauphins du parcs sont nés à l’état sauvage.

Quant à Planète Sauvage, dont le delphinarium a ouvert au public en 2009, de nombreuses polémiques entourent déjà ce parc. En 2011 et 2012, deux jeunes dauphins ( de 19 et 9 ans) meurent. L’autopsie n’est pas rendue publique…

En août 2015, un delphineau de 12 jours est tué en se retrouvant au milieu d’une bagarre entre deux femelles. Cela est déjà arrivé plusieurs fois dans ce genre de parc.

Enfin en novembre dernier, Aïcko, un dauphin de 6 ans est mort. Encore une fois, les résultats de l’autopsie se font attendre.

Côté animaux terrestre, le parc a déjà une lourde réputation. Il aurait notamment vendu des macaques nés sur le parc à une société allemande qui pratiquent l’expérimentation animale. Évidemment le parc affirme ne pas être au courant de cette affaire.

Captivité VS liberté : il y a-t-il vraiment une différence pour les orques ?

Lorsque l’on entend les commentaires des animateurs dans les différents parcs, ces derniers donnent l’impression que les orques ont une meilleure vie, et une plus longue espérance de vie en captivité. Petite analyse sur les différentes questions qui reviennent le plus souvent.

Bassin

En liberté, les orques peuvent nager 160km par jour et plonger à 300 mètres de profondeur. A Parque Loro la taille du bassin est de 120m de long, 64m de large et 12 mètres de profondeur. Il  y a vite de quoi tourner en rond. L’exemple a été pris et repris, mais imaginez deux enfants qui grandissent dans une baignoire avec un seul ballon comme moyen de distraction durant une vie entière. C’est complètement inhumain, non ?

La longévité

Les parcs affirment que la longévité en captivité et bien meilleure que dans la nature. C’est totalement faux. Il est vrai qu’il assez compliqué de calculer la longévité des orques sauvages. Elle varie en fonction des groupes sociaux, du lieu de vie.

Cependant, la longévité dans les parcs est très faible. Une étude a démontré qu’entre 1964 et 2010, sur 197 orques captifs, les 2/3 n’ont pas vécu plus de 10 ans. Actuellement, moins de 30 orques ont dépassé les 20 ans en captivité.

Dans la nature on estime la longévité des mâles à 30 ans, et celle des femelles à 50 ans. Mais comme je l’ai dit, l’identification des orques et le calcul de leur âge reste compliqué.

Pour la petite histoire, Granny est une orque sauvage, qui est très facilement reconnaissable grâce à une marque sur sa nageoire dorsale. En 1987, son âge a été estimée à 76 ans. Depuis décembre 2016, elle a disparu des radars, et est présumée morte en ce début d’année… à 105 ans !

Dans son groupe, plusieurs orques ont déjà dépassé les 80 ans. On est donc loin, très loin des 36 ans de Tilikum…

Maladies

Dans les delphinariums, les cétacés sont sujets à de très nombreuses maladies et de soucis de santé qui n’existent pas dans la nature.

Pour commencer il y a beaucoup d’automutilations de la part des orques, qui sont très frustrés par le manque d’espace. On retrouve par exemple beaucoup d’orques rongeant les bords des bassins, ce qui leur cause des problèmes intestinaux et leurs détruits les dents. Cela nécessite des antibiotiques lourds et quotidiens, mais aussi de leur faire subir des endoscopies…

Par ailleurs, l’eau est un mélange d’eau de mer et de chlore. Cela pose énormément de problèmes pour leurs yeux et leurs poumons. Les poumons sont d’ailleurs une cause fréquente de mortalité chez les orques captifs.

Enfin, les échanges et mélanges des orques sans prendre en compte leurs groupes sociaux entraînent beaucoup d’agressivité, d’attaques et donc de blessures (voire parfois la mort…). Les orques sont des animaux qui ont des relations sociales bien plus développées que chez les hommes. Ils ont du mal à communiquer s’ils ne viennent pas du même groupe.

Nageoire dorsale

Encore une caractéristique quasiment propre aux bassins. Contrairement à ce que les parcs tendent à dire, la nageoire dorsale recourbée des orques est très rare dans la nature (moins d’1%). Contre 80% des orques en captivité. En réalité cette déformation, est dû au temps que l’orque passe à la surface. Cet aileron est constitué de graisse, et n’est pas soutenu par un muscle. Lorsque l’orque passe beaucoup de temps dans les profondeurs elle va rester droite. Mais en restant plus souvent à la surface, elle risque de se courber. Le manque de profondeur des bassins explique donc pourquoi c’est un phénomène bien plus récurrent dans les parcs aquatiques.

Agressivité envers l’homme

Comme vous aurez pu le lire tout au long de cet article, il y a beaucoup de cas d’agressivité envers les hommes de la part des orques en captivité. La réputation de l’orque la précède, son nom en anglais killerwhale (baleine tueuse) prête à confusion. En réalité l’orque est une tueuse de (bébé) baleine, et non une baleine tueuse…

L’orque est un animal sauvage et une prédatrice. Elle fait des tours de passe passe sous la contrainte, mais elle reste un cétacé de plusieurs tonnes qui a l’habitude de chasser.

Malgré tout, dans la nature, il n’a jamais été recensé un seul cas d’agression des orques sur l’homme. Et certains s’y sont pourtant approchés de près !

Conservation de l’espèce et pédagogie

Encore un bel argument des parcs aquatiques. Ils participent à la conservation de l’espèce et apprennent aux visiteurs à connaître l’animal.

Dans la réalité, on peut se demander à quel point le visiteur peut comprendre le comportant d’un animal qui n’est pas dans son environnement naturel et qui fait des activités imposées et étrangères à sa nature ?

Mais la question est, à quel prix faut-il sauvegarder ces espèces ?

Nous l’avons vu, les orques et les cétacés, souffrent de cette condition captive. Ils sont malades, blessés, psychologiquement instables, et ils meurent pour la plupart prématurément. Est-il concevable de vivre dans de telles conditions, juste pour maintenir une espèce en vie ?

Un travail de réhabilitation aurait bien plus d’intérêt que d’utiliser ces animaux pour faire des spectacles. Pour cela il faudrait au maximum éviter les contacts humains, et placer les orques dans les conditions les plus proches de la nature. C’est évidemment un long chemin à parcourir, mais arrêter de faire des spectacles avec des orques semblerait être un premier pas pour un véritable travail de conservation.

Comment faire avancer les choses ?

Tilikum est mort, et plus personne ne peut lui rendre sa liberté. Mais nous sommes en tant que consommateurs, les seuls à pouvoir sauver tous les autres orques qui vivent encore en captivité.

Communiquer

La première chose à faire, c’est de communiquer sur les conditions dans lesquelles vivent ces animaux. Partager sur vos réseaux des documentaires ou des articles pour que cela puisse résonner chez d’autres personnes. Communiquer sur le sujet avec vos proches, vos amis, vos parents, vos collègues. Même si cela ne va pas forcément leur faire ouvrir les yeux dès la première allusion, il suffit de toucher une personne.

Boycotter

La seconde chose et la plus importante, selon moi. Boycotter tous les delphinariums. C’est le principe de l’offre et de la demande. Mettre, ne serait-ce qu’un euro dans un billet d’entrée, c’est déjà participer à ce commerce. Même si vous allez au Parc Astérix pour les attractions, vous financerez le delphinarium. Le seul et unique moyen dans un monde où tout tourne autour de l’argent, d’avoir un impact, c’est en attaquant sur ce point.

Participer

Signez les pétitions, et si vous voulez allez encore plus loin, participez aux manifestations. En donnant de la voix aux associations de défense de ces animaux, elles prendront de l’importance auprès du gouvernement.

Quelques pétitions à signer :

En Août 2015, un projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages est adopté en première lecture par l’Assemblée Nationale. Un amendement pour la fermeture des delphinarium a été déposé. Il n’est pas passé, mais c’est déjà un premier pas très important qui annonce un espoir pour le futur !

Le zoo de Beauval envisageait d’ailleurs d’ouvrir un delphinarium mais devant les nombreuses oppositions, il semble que l’idée ait été mise de côté. Une petite victoire !

Témoigner

Enfin pour terminer cet article, je suis en recherche de témoignages ! Si vous avez des photos, des vidéos ou des récits démontrant de la maltraitance et de l’aliénation d’animaux en captivité en France et en Europe (en zoos, bassins, parc zoologiques, etc…), vous pouvez me les faire parvenir à mon adresse mail : lacoquetteethique@gmail.com

Vous pouvez aussi les transmettre auprès d’associations, mais si vous ne savez pas vers qui vous tourner, je serais ravie de vous aider à trouver !

Sources :

– Merci à Aglaé Rouzier pour son témoignage et ses enregistrements
Blackfish movie
– La célèbre orque tueuse Tilikum est mort : Le Monde
– Jusqu’à quel âge vivent les orques en captvités : Keep Whales Wild
– Keto : the other whale who killed his trainer : One Gree Planet
– Granny, l’orque de 103 ans qui fait trembler SeaWorld : MrMondialisation
– SeaWorld annonce la fin de son programme de reproduction d’orques en captivité : Le Monde
– Dernier spectacle pour les orques de SeaWorld San Diego : C’est Assez
– The forgotten Orca : Orcaaware
– De quoi est Aïcko : One Voice
– Marineland face à une campagne sur l’orque tueuse : France 3 régions
– Marineland : grande manifestation annuelle anti captivité du 10 Juillet 2016 : Fondation Brigitte Bardot
– Projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages : legifrance.gouv
– Images libres de droit : Pixabay

Si vous avez aimé cet article, pensez à le partager ! ^^

6 commentaires

  1. Super article sur ce qu’est la captivité des cétacés. C’est assez rare de voir ce genre d’articles sur la blogosphère alors je ne peux que saluer l’initiative en espérant qu’il sera lu par un grand nombre de personnes. Il est temps que cette cruauté s’arrête !

    Bises,
    Marion

    • Merci Marion ! Ça me fait plaisir d’avoir un commentaire de ta part et pour ce que ça vaut je trouve que ton blog est plutôt très qualitatif sur ce sujet !
      A bientôt !

  2. Bravo pour cet article très intéressant et complet. C’est toujours déprimant d’apprendre ce genre de nouvelles… mais il faut aller de l’avant et continuer à lutter pour ces causes. Etant donné que les animaux ne peuvent pas se défendre, nous nous devons de le faire à leur place. Et tu as raison, ça passe par le fait d’en parler, de boycotter et d’aider les organismes !

  3. Coucou Caroline,
    Comment vas tu ? Merci pour cette article très intéressant. J’ai longtemps pensé que les delphinarium et autres parcs aquatiques étaient là pour protéger des espèces en voie de disparition et nous permettre d’en apprendre plus sur les animaux en général. Mais au final, tout cela se résume à de la torture et de l’esclavage. Des compagnies font de l’argent sur des êtres vivants, et c’est intolérable, surtout lorsque ces animaux sont malheureux et maltraités. Quel être vivant, humain ou animal, supporterait de passer sa vie enfermer, loin de chez soi, à tourner en rond ??? N’importe qui deviendrait agressif dans une telle situation! Et les publicités de ces parcs sont tellement mensongères! Elles nous vendent du rêve alors que c’est un enfer pour les animaux. Comment après expliquer aux enfants que non, on ira pas voir les dauphins par ce qu’en faite ils sont pas heureux du tout…
    Bref, je vais de ce pas consulter les pétitions et te souhaite une bonne soirée,
    Mimi

    • Merci Mimi pour ton commentaire ! En effet, les aquariums n’apprennent rien de l’environnement des animaux marins, puisque cet environnement est biaisé par rapport à leur milieu naturel. Je suis contente de voir que cet article t’a intéressée ! Au fait, n’hésite pas à t’abonner à ma neswletter je l’ai lancée en ce début d’année et il y aura des infos exclusives ! A bientôt !

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